Un petit peu d'histoire...
Une histoire de famille !
Mon parrain, Armand, le frère de mon grand père
Mamam – mère d’Arthur et Armand, Maman Lore – mère de Rosine, et Florentine– vendeuse, plus de 40 ans de fidélité à la famille
Mon grand-père – Arthur – et ma grand-mère
Les Origines
La famille Collin, composée de l’arrière-grand-mère – Jeanne Fourneaux, veuve d’Armand COLLIN – et de ses deux fils Arthur et Armand, a débuté la fabrication du pain à Saint-Séverin – en Condroz – directement après la guerre 14-18.
N’ayant pas de magasin ils effectuaient la distribution des pains… en vélo !
Le premier magasin, rue de la Baume à Seraing
L’entre-deux-guerre
Peu de temps après le lancement du commerce, la famille repris une boulangerie à côté du Moulin de Chokier-sur-Meuse. Leur petit magasin s’est très vite fait connaître, ils effectuaient leurs livraisons dans les environs avec une charrette et un cheval, et leur commerce a rapidement pris une grande expansion.
Étant à l’étroit à cet endroit, c’est le 10 janvier 1923 qu’ils ont repris le commerce de boulangerie, rue de la Baume à Seraing. L’atelier était équipé d’un four à cokes, d’un pétrin mécanique, d’une armoire de fermentation, d’un pétrin en bois et… pour effectuer le service à domicile: un camion.
Ma grand-mère : sa boulangerie, son magasin et ses client… toutes sa vie !
C’est en 1936 que les deux frères se sont mariés. Afin de s’agrandir, Arthur et Rosine, mes grands-parents, sont restés rue de la Baume tandis qu’Armand et Léa ont repris une boulangerie à Flémalle.
En 1940, pendant la période de guerre, Armand a été rappelé sous les armes et fait prisonnier en Allemagne, c’est Arthur – qui lui n’a pas été rappelé – qui a continué à faire tourner les deux établissements avec l’aide des épouses.
Le développement
C’est dans cette boulangerie – rue de la Baume – que mon père est né un 19 juin 1946, il porte le prénom d’Armand, fils d’Arthur et de Rosine.
En 1958, Arthur et Rosine, mes grands-parents, ont transformé une première fois le magasin. C’est à cette époque que l’on a commencé à fabriquer la pâtisserie et la glace.
Mon père, Armand, a épousé ma mère, Monique, le 29 juin 1966. Et de cette union est né, le 11 novembre 1967, Stéphane, votre serviteur !
Mon père : toujours à la recherche de nouvelles innovations.
Ma mère : de 7h00 à 19h00, toujours le sourire pour accueillir ses client et leur offrir le meilleur service possible
Au décès inattendu de mon grand-père en 1968, mon père s’est retrouvé dans l’obligation de poursuivre l’affaire familiale, bien que son cœur l’aie plutôt guidé vers l’ingénierie, sa formation.
C’est en 1973 que le magasin fut de nouveau transformé, embelli et agrandi.
A la fin des années 80, ma grand-mère dû quitter son magasin pour raison de santé. Son magasin, ses clients, c’était sa raison de vivre… et peu de temps après elle nous quittait.
Mes parents ont donc poursuivi la tradition familiale avant de quitter à leur tour ce commerce le 31 octobre 1990, pour rejoindre de nouveaux horizons.
La relève
Nous avons repris tout ce que nos « arrières, grands et parents » nous ont inculqué: accueil, service et qualité, ce qui aujourd’hui fait notre renommée… grâce à vous !
A l’origine, je n’ai jamais été tenté par la reprise de la boulangerie de mes parents, et je me suis donc lancé dans l’industrie alimentaire. C’est à ma dernière « place », à la Wetterenoise, que le virus est apparu : la véritable passion du pain.
Mon épouse savait que je voulait reprendre tout à zéro dans un petit commerce et un jour, en allant rechercher sa cousine à l’école, elle aperçu que le « 7 Rue Saint-Géry à Thieu » était à vendre. C’est ce jour là que le Pain di djou est né – en juillet 2011 – et que nous avons mon épouse Sylvie et moi ouvert notre petite boulangerie. Depuis lors, nous évoluons de jours en jours vers notre futur.
Que nous réserve-t-il? Je n’en sais rien, mais la seule chose dont je sois certain c’est que ce chemin nous le faisons avec, et grâce a vous. Et que la seule chose qui ne changera jamais… c’est : « accueil, service et qualité ».
A suivre…
Le Sans Gluten
Mon épouse, Sylvie, a souffert pendant longtemps de problèmes de peau qu’on ne parvenait pas à soigner.
Parmi tous ceux qu’elle a rencontré, un médecin lui à proposé un régime sans gluten. Nous avions essayé tellement de chose que l’on sait dit – pourquoi pas… – et les résultats positifs n’ont pas tardé à se faire ressentir !
Elle souffrait d’une Dermatite Herpétiforme qui était due au gluten. Pour elle qui adore le pain, s’en priver était un supplice, mais en l’absence de gluten son souci disparaissait. Elle a donc suivi son régime avec grande attention, pendant que je cherchais des solutions pour lui faire plaisir.
C’est désormais chose faite, grâce au développant d’une gamme de pains et brioches sans gluten. et aujourd’hui, nous pouvons vous faire plaisir aussi !
Et pour poursuivre l’aventure, d’ici le mois d’octobre un tout nouvel atelier sans gluten verra le jour : une superficie de 72m² sera créée pour satisfaire les plus exigeants d’entre vous.